Témoignages

Dieu… j’ai osé l’appeler Père

Depuis trois mois que nous vous avons partagé avec vous cette idée, voici venu le moment venu du lancement du Club de Lecture Chrétienne en ligne.

Nous sommes heureux de vous présenter le premier livre choisi pour le mois d’octobre, que vous pourrez vous procurer dans les librairies chrétiennes de votre ville ou en ligne :

Dieu j’ai osé l’appeler Père

de Bilquis Sultana Sheikh

Dans ce livre autobiographique, Bilquis Sultana Sheik, issue de la noblesse pakistanaise, nous raconte comment elle a été amenée à rechercher Dieu.

Une recherche qui commença par la lecture du Coran, puis de la Bible.

La rencontre de Jésus avec la femme adultère la bouleversa …

7 réflexions sur “Dieu… j’ai osé l’appeler Père

  • La lecture de ce livre m’a conduit à Jésus en 1986. De musulman que j’étais, j’y ai trouvé la réponse à mes questions

  • Jacqueline Massard

    c’est un très bon livre , j’ai bien aimé

  • Georges Jean-Luc

    Très bon livre ! Un des rare que j’ai lu il y a environ 25 ans !
    Salutations!

  • Ngoie ilunga

    SUITE A UNE FIERVRE A UN DEGRE PLUS ELEVE DE TEMPERATURE, ON M’AMENA AU DISPENSAIRE, TOUVANT PORTE FERMEE, ON RENTRA A LA MAISON PAS DE CHANGEMENT, MES PARENTS SE METTANT A PRIER, MOI A CE MOMENT LA, J’ETAIS DEJA PARTI, JUSQU’AU PETIT MATIN. ET TOUT CE TEMPS LA QU’EST CE QUE JE VOYAIS, UN FEU EN FLAMME DE PART ET D’AUTRE DEUX PERSONNES, MOI EN FACE D’EUX, CELUI DE GAUCHE AVEC DE CORNE VOULANT M’ATTIRER POUR ME JETTER DANS LE FEU ET CELUI DU DROITE AVEC SON ANGE EMPECHANT L’AUTRE DE ME TIRER VERS LE FEU. ALORS CET IMAGE LA ETAIT RESTEE EN MOI. ET C’ETAIT LE PREMIERE JOUR DE LA SEMAINE DONC (le Dimanche) C’EST AINSI LE MATIN JE ME SENTAIS BIEN, COMME MON PERE ENSEIGNAIT LES ENFANTS DE L’ECOLE DU DIMANCHE, MOI AUSSI JE L’AI SUIVI A L’EGLISE, C’EST AINSI QUE CE JOUR LA QUE J’AVAIS RECU JESUS-CHRIST COMME MON SAUVEUR JUSQU’A MAINTENANT. C’ETAIT A L’AGE DE 12 ANS.

  • Ayyahh de Ouaga

    J’ai lu ce bouquin il y a quelques années déjà et j’ai été bouleversée

  • Si au début de ma lecture j’ai eu un sentiment étrange de « trop facile? trop léger » dans la façon de raconter des faits aussi sérieux que conséquents, placés dans un décor quelque peu poétique partant d’un jardin qui semblait en être le centre? j’ai peu à peu découvert une richesse précisément cachée dans ce jardin qui représentait tant pour Bilquis.
    Puis, la profondeur de l’auteur dans sa relation grandissante avec Dieu son Père, m’a totalement rejointe dans ma propre quête d’intimité avec mon Dieu, quête que je poursuis depuis tant d’années et dans laquelle je progresse bien trop lentement à mon goût.
    C’est alors que toute la fondation de cet écrit s’est révélée à moi, à partir de faits évoqués de façon si ordinaire au départ, mais tellement empreints de cette présence aussi fortement vécue et pourtant aussi rapidement « perdue » pour des trois fois rien…
    C’est ainsi que je termine ce livre avec une envie accrue de développer ce qui permet à la présence de Dieu d’être aussi manifeste et pratique que nous le relate Bilquis. Certes, je n’arrive pas à la cheville de notre auteur, mais j’ai le même Père et cette lecture a suscité un renouvellement profond de mon désir de vivre encore plus près de Dieu. J’aspire à pouvoir vivre dans cette dépendance directe du Père. Si je ne suis pas encore parvenue à vivre une présence aussi forte et puissante, j’ai le bonheur d’en connaître un petit avant-goût trop souvent interrompu. Mais une petite lumière s’allume quand je ne suis plus en accord avec Lui et je veux grandir dans cette connaissance de plus en plus concrète dans ce que je pense en mon for intérieur et dans ce que je projette de faire au quotidien et dans ce je décide pour chaque domaine de ma vie et me remettre en question « est-ce bien toi Seigneur qui dirige ma vie ? »?
    Pour terminer, ayant dû également « abandonner une partie de ce que Dieu m’avait donné » (mon jardin, ma maison pour des raisons économiques), je réalise à la fin de cette lecture à quel point je jette parfois encore mes regards en arrière avec regret (sinon amertume) et aujourd’hui je désire réellement lâcher ce qui ne m’appartient plus et grandir dans ma totale dépendance envers Dieu mon Père en qui j’ai bien plus que tout ce qu’aurait pu m’offrir ce lieu qui était tout pour moi, et qui avait pris trop de place dans ma vie.
    D’un livre dont je n’ai entrepris la lecture que pour « faire plaisir à mon mari », ressort aujourd’hui un formidable rappel de ce que veut dire « Dieu mon Père »? Merci Bilquis, merci Henry pour ce choix !

  • François Xavier

    C’est avec avidité que j’ai lu « Dieu … j’ai osé l’appeler père ». Ce livre m’a fait redécouvrir le chemin vers une intimité plus grande avec Dieu, une dépendance envers le père, et le grand amour de celui-ci qui sait ce qui pour nous est le meilleur.
    J’ai été plongé dans l’amour d’un Dieu-père qui se révèle à nous de multiples manières, à la condition que nous lui laissions la direction de notre vie.
    C’est un livre que je recommande TRES chaleureusement.

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